Shadow Of Death
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 Ikeda Ryuichi

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Ikeda Ryuichi
Vampire
Vampire
Ikeda Ryuichi

Messages : 20
Date d'inscription : 16/01/2012

Dossier
Orientation Sexuelle: Bisexuel(le) / Ambivalent
Ses pouvoirs/Talents:
Ses points faibles:

Ikeda Ryuichi Empty
MessageSujet: Ikeda Ryuichi   Ikeda Ryuichi I_icon_minitimeVen 27 Avr - 2:33



IKEDA RYUICHI
Ikeda Ryuichi Ryu11



- Surnom: Ryuuketsu (Carnage)
- Nom: Ikeda
- Prénom: Ryuichi
- Âge: 26 ans ( physiquement 21 )
- Groupe : Kuricha



- Race: Vampire
- Sexe: Masculin
- Orientation Sexuelle: Bisexuel



CAPACITÉS


- Peurs: Ikeda-San se craint lui-même. Il a peur de ce qu'il pourrait faire... De la Bête en lui qui pourrait prendre le contrôle absolu pour le transformer en créature sanguinaire, davantage animale que consciente.

- Ses pouvoirs:
Le contrôle de l'eau.
Ikeda-San peut contrôler l'eau à sa guise, lui faisant prendre la forme et la densité qu'il désire. Cependant, il ne peut créer le liquide et est donc limité par la quantité d'eau qui se trouve à proximité.

Des sens particulièrement affutés.
En effet, il perçoit particulièrement les sons, repère de loin le sang, à la façon des requins et voit parfaitement bien dans l'obscurité.

L'auto-régénération.
La moindre blessure guérit plus rapidement, même si les plus graves le cloueront probablement au lit quelques jours. Le poison l'affecte, cependant, il devra être puissant pour venir à bout d'Ikeda-San, car son corps se régénère au fur et à mesure que le poison faire ses ravages, du coup vaux mieux une forte dose qui réagira rapidement si l'on désire se débarrasser de lui. Ceci dit, les blessures mortelles restent mortelles pour lui aussi.

- Ses points faibles :
La moindre lumière forte le dérange, l'aveugle et le désoriente.
Les flammes le consume avec une facilité notable.
La magie bénéfique des seishos le rebute et il y est très sensible.
La Bête qu'il cherche à contrôler, à museler à tout prix le déconcentre beaucoup lors des combats, lorsqu'il y à du sang et qu'elle se débat en lui.

- Son Arme : Le Kyoketsu Shoge, une arme japonaise composé d'un couteau possédant une lame effilée doublé d'une seconde lame en forme de crochet. S'ajoute à cela une longue chaine de plusieurs mètres dont l'extrémité est pourvu d'un anneau métallique donc le rebord extérieur est bien acéré de façon à blessé l'adversaire contre qui elle serait projeté. Le Kyoketsu Shoge est une arme plutôt aisé à manier et pratique, car elle permet aussi bien de se battre que d'escalader une paroi grâce à son anneaux et son crochet. (Lien Wiki)

- Sa motivation : Lentement, il réalise qu'il dépend de l'humanité, qu'il le veuille ou non. Après tout, si celle-ci périe, de quoi pourra t-il se nourrir? Le voilà résigné à protéger sa pitance des forces supérieures. Histoire de veiller à sa propre longévité.

CARACTÈRE


Drôle de tâche que de se décrire soi-même. Les gens ne sont-ils pas capable de tirer leur conclusion par leurs propres moyens? Enfin, j’imagine que ces paroles ne me dispenseront pas de cet exercice. J’ai tendance à être une personne un peu perturbante. Si le temps m’a apprit à avoir un discours plus logique et complexe que lors de mes jeunes années humaines, j’en demeure extérieurement, assez enfantin. Du premier coup d’œil, les gens ont tendance à croire que je suis un gamin un peu idiot qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Plutôt souriant et affable quand je suis entouré de gens, je n'en demeure pas moins assez sombre intérieurement, un aspect de ma personne qui ne ressort que lorsque je suis seul ou avec une personne qui me connait de façon plus « profonde » si je puis me permettre. Parce que oui, je suis horriblement pessimiste, j’en suis conscient, et je suis une personne à la moralité particulièrement douteuse. Je comprends parfaitement la notion de bien ou de mal, mais franchement, dans ce monde, vaux mieux s’occuper de soi et laisser les autres se démener pour leur longévité ou payer de leur faiblesse. Malheureusement, m’occuper de mon futur et de moi, c’est faire en sorte que l’humanité soit épargnée, afin de pouvoir toujours me repaître du sang de mes victimes.

J’ai également tendance à être une personne tenace et je n’ai pas peur de prendre des risques quand ça en vaux la peine. Je ne suis pas quelqu’un qui se laisse guider par la peur même si je connais bien cette vieille amie. La Bête en moi me terrifie bien, pourtant, je n’ai guère le choix de vivre avec elle, de l’apprivoiser, l’empêchant de prendre le contrôle absolu, la jugulant contre son gré aux tréfonds de mon être.

Que dire d’autre? J’aime l’obscurité tout en regrettant l’astre solaire parce qu’il m’est à présent néfaste. J’apprécie la pluie, celle qui gèle le corps, qui détrempe en une poignée de seconde les vêtements. J’aime ce fluide carmin qui me permet de m’insuffler la vie alors que je l’arrache à d’autre tout en le détestant, car la Bête l’aime particulièrement. J’apprécie les combats, l’entrainement qui me permette de me vider la tête, de me concentrer sur autre chose. La musique, même si elle se fait rare en ce monde, les poèmes, comme quoi j’ai un côté artistique. J’apprécie de même les conversations, j’aime le monde. C’est tout de même ironique face à ce que je suis, moi, le monstre honnit par tant de gens. J’aime philosopher, m’arrêter à réfléchir sur le cours du monde, essayer de le comprendre, ne serais-ce qu’un peu.

Par contre, je déteste ces créatures qui sont venu perturber ce monde qui était déjà si sombre, d’avance. Bénéfiques ou maléfiques, leurs places est dans l’autre monde et ils ne semblent comprendre cela. Je truciderais aisément le responsable du virus qui m’a poser hors de chez moi pour survivre comme un chien errant. Ces sales résidus d’humanité malfaisante qui ne pense plus qu’à se nourrir de la chair dont j’absorbe le sang. Ne sont-ils pas des rivaux pour la subsistance? Je ne supporte guère les gens qui se lamentent sur leur sort, les faibles qui rampent, vaincu par la vie.

J’estime en avoir assez dit. On ne peu résumer une personne en mot de façon parfaite et complète. Après tout, l'être est en constant changement et mes premiers mots pour me décrire ne sont peut-être plus tellement approprié? Enfin, découvrez le reste par vous-même ou passez votre chemin, tout simplement.




BIOGRAPHIE


Que dire. Par moment, ma mémoire semble se montrer récalcitrante à me laisser livrer l’histoire de ma vie. J’imagine qu’à force de voir les années, le temps s’égrainer, jusqu’à l’infini, il est normal que quelque part, je finisse par perdre des morceaux de mon existence, aussi triste cela puisse sembler. Quelque part, le danger de se perdre soi-même, d’oublier qui je suis, semble me menacer, lentement et surement. Me laisserai-je plonger davantage dans l’obscurité, me laissant dévorer par la Bête qui se tapis dangereusement au plus profond de mon esprit jusqu’à ne devenir plus qu’un monstre fou et assoiffé d’une quantité titanesque de sang, de souffrance et de douleur? Je n’en sais… Simplement rien. J’imagine qu’à ce moment, quelqu’un aura la judicieuse idée de m’abattre et de laisser mon âme filer vers les tréfonds des enfers.

J’arrive tout de même à me rappeler brièvement des moments passé avec ma mère, son amour pour la chair de sa chair, tout comme je me rappelle de façon étonnamment précise le sang de l’indigne paternel sur mes mains… ces petites mains d’enfant ensanglantées, porteuses du fardeau de la mort, mué par une vengeance qui force à grandir plus vite qu’on ne le devrait. Le carmin, qui anime la vie, qui effraie tant de gens, ce fluide vif et qui de nos jours, m’inspire une fascination affamée, qui agite vilainement la Bête en mon sein.

J’arrive à me rappeler le sol nippon que je ne foulais qu’à l’entre-âge entre l’insouciance infantile et tracas de la majorité. Je me rappelle aussi Lui. Et cette relation profonde que chaque être recherche désespérément sans toutefois arriver à la trouver, et ce, même en une vie entière de recherche. Une relation tumultueuse et sinueuse, parsemée de courants calmes, de chutes vertigineuses, de dangereux rapides. Pas une relation ennuyante se complaisant faussement dans une routine rébarbative, mais plutôt quelque chose de vivant, où la passion est maîtresse absolue et où nous n’étions que deux.

Je me rappelle aussi cette ruelle sombre, froide, l’eau croupissante qui imbibait mes vêtements déchiquetés, se mêlant doucement à un poisseux liquide carmin. Les forces qui quittaient dangereusement la chair sans que celle-ci n’ait aucune chance de les retenir. La vie qui s’amenuisait, se réduisant à un faible souffle, à peine capable de faire remuer ces lèvres pâles souillés de rouges dans un délicieux contraste morbide. Puis le néant, le néant complet qui semble tout absorber, qui arrache tout sans distinction, laissant l’être aussi dénudé et dénué de force qu’un nouveau-né.

Le premier souvenir réellement clair que je tiens de cette nouvelle existence est la lumière tamisée d’un jour de pluie. Une pluie fine, froide, vengeresse qui traverse le textile pour s’attaquer glacialement à la chair. Comme si elle se plaignait de ce que j’étais devenu, ce que je réalisais lentement, avec un mélange d’effroi, de crainte et d’incompréhension. J’avais déjà découvert que les monstres cachés sous le lit n’étaient guère fabulations d’adultes pour forcer leurs progénitures à être sage, tout ça à cause de Lui. Lui qui faisait partie de leur monde, comme si un jour, vous décidiez d’ouvrir un livre au hasard pour en voir sortir de fabuleuses, mais terribles créatures ayant dans l’idée un bien funeste destin pour votre personne. Et cette si fine lumière qui me semblait pourtant déjà trop présente, qui me laissait davantage tendu et anxieux que je ne l’étais déjà, cette clarté qui remuait désagréablement la Bête qui semblait se reposer en mon être, une conscience étrange, sauvage, qui n’avait jamais été là.

J’imagine qu’elle, cette Bête sanglante, aurait prit le contrôle de tout, s’il n’y avait pas eu Lui pour me raccrocher à quelque chose, me garder dans un état de conscience, repoussant une folie meurtrière qui semblait me suivre tel une ombre démoniaque. Pourtant, le temps change les gens et qu’ils le veulent ou pas, les sentiments… La passion s’effrite dans les affres des années et il n’en reste qu’un souvenir agréable et nostalgique. Tel le phénix, les sentiments s’enflamment pour ne devenir que cendre, puis renaissance de nouveau, différents.

De toute façon, qui voudrait d’un sentiment si puissant en ces temps apocalyptiques? À quoi bon chérir quand on risque de tout perdre du jour au lendemain, en l’espace d’une seconde, en un temps infiniment insignifiant. Des temps durs sont à nos portes, l’existence même devient un défi ardu, un défi contre la vie, contre la mort, contre le néant.

Que le meilleur gagne et peut-être arriverai-je à expier mon âme ténébreuse d’humain déchu.

Mais le doute persiste, presque immuable.



ET VOUS?

-Comment avez-vous découvert Shadow of Death? : Jamais découvert.
-Comment trouvez-vous le design? : Mon design? Parfait aujourd'hui, horrible demain.
-Votre rythme de réponse: 1-2 par semaines, parfois plus.
-Origine de votre avatar? : Un dessins de Pixiv Id 894885 Trouvé sur Zerochan.com (Ici =3)
-Un commentaire?: Nah nah.

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